Actualités
❄️Toute l’équipe du ThéâtredelaCité vous souhaite à toutes et tous une belle fin d’année 2024 ! On retrouve en 2025 avec plein de beaux et surprenants spectacles.
La billetterie ferme son guichet du mardi 24 décembre au 1er janvier inclus. En attendant de se retrouver en janvier, vous pouvez :
🎟️ Réserver vos places en ligne
🎁 Offrir une Carte cadeau, disponible sur la billetterie en ligne.
📖 Feuilleter notre Cahier Hiver 2024 – Printemps 2025
Rendez-vous en 2025 par téléphone et au théâtre :
📅 Réouverture le jeudi 2 janvier à 14h30
📞05 34 45 05 05
📍1 rue Pierre Baudis, 31000 Toulouse (métro Jean Jaurès)
Le recrutement de la Troupe de l’AtelierCité continue ! Vous avez jusqu’au 24 janvier 2025 pour postuler via la plateforme France Travail. Retrouvez toutes les infos relatives au recrutement sur la page AtelierCité de notre site : ici !
Notre pays traverse aujourd’hui une crise politique et budgétaire sans précédent.
Pour y faire face, les pouvoirs publics – État et collectivités territoriales – se sont engagés dans une politique de réduction des dépenses publiques qui touche aujourd’hui violemment le secteur des arts et de la culture.
Nous, réseaux de structures œuvrant pour des missions de service public et d’intérêt général, ne prétendons pas que le secteur de la culture doive échapper à l’effort collectif. Mais nous voulons rappeler ici que la contribution décisive du secteur culturel à la dynamique sociale et économique de notre pays n’est plus à démontrer. Les artistes, les compagnies, les ensembles, les opéras, les orchestres, les théâtres, les salles de spectacles et de concerts, les cirques, les festivals, … sont aujourd’hui des éléments essentiels de la vitalité des territoires. lire la suite
[COMMUNIQUÉ / Vendredi 26 avril 2024]
Très cher public, Chères et chers artistes et partenaires,
Vendredi 19 avril, nous avons appris de manière brutale que le Conseil départemental de la Haute-Garonne diminuait sa subvention au ThéâtredelaCité de 80%, soit 190.000 euros de moins pour 2024. Il a également annoncé qu’il ne pourrait pas garantir son accompagnement à partir de 2025. Ce désengagement représenterait une perte cumulée de près d’un million d’euros d’ici 2027, fin du mandat de direction au ThéâtredelaCité… lire la suite
Lire le communiqué du Syndeac / l’article de la Dépêche du Midi / l’article du Monde / l’article de Télérama
Choisissez la Carte cadeau du montant de votre choix et vous ferez, à coup sûr, un ou une heureux.se.
Rendez-vous à la billetterie du théâtre !
Néons programmés / Installation cinétique d’Aurélien Bory
Entrée rue Labéda / Tous les jours / Gratuit
Journal
Avouons-le, l’état actuel du monde est une source d’angoisse pour nous tous. Mais pour les artistes, paradoxalement, il peut s’avérer une source d’inspiration. Non pas parce que les artistes aiment les cataclysmes, mais parce qu’ils possèdent la capacité de transcender l’horreur en créant des formes sublimes. Je pense que c’est une technique pour soigner le monde.
Entretien avec Lucie Lataste
Créée en 2009 la compagnie DDS (Danse des signes) a déjà une longue vie derrière elle : depuis Les Survivants en 2011 où elle explorait les poèmes de Boris Vian, ses créations jouent autant dans des musées que des théâtres et se placent délibérément au carrefour entre théâtre, danse et poésie. L’alliance de la langue des signes, du texte et du geste chorégraphique y ouvre des espaces neufs dans le regard du spectateur et des brèches dans les préjugés de tout ordre. S’adressant à tous·tes, enfants et adultes, sourd·e·s et non sourd·e·s, la compagnie propose actuellement, en complicité ancienne avec le Théâtre du Grand Rond et le Théâtre Sorano, au terme d’un accompagnement de plusieurs mois par le Théâtredelacité, le spectacle Je préfère regarder par la fenêtre. Rencontre avec Lucie Lataste, autrice, metteuse en scène et comédienne, fondatrice de la compagnie et de l’École de Théâtre Universelle qui accueille à Toulouse des comédien·ne·s sourd·e·s et signant·e·s venu·e·s du monde entier.
Il y a toujours eu une alchimie particulière dans les restaurants des théâtres : du temps de Molière, déjà les spectateur·rice·s ripaillaient chaleureusement avec les comédien·ne·s dans l’atmosphère bohême des après-spectacles. De nos jours, la tradition perdure et les lieux de spectacle, petits et grands, ont souvent installé en leurs murs de quoi nourrir les terrestres appétits qui accompagnent la soif de culture.