14 juilletThéâtredelaCité

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27 novembre – 7 décembre 2019
 

14 juillet

Texte et interprétation
Fabrice Adde
Co-écriture et mise en scène
Olivier Lopez

Représentations

Mer. 27 nov. 2019
19h00
Jeu. 28 nov. 2019
19h00
Ven. 29 nov. 2019
19h00
Sam. 30 nov. 2019
19h00
Mar. 3 déc. 2019
19h00
Mer. 4 déc. 2019
19h00
Jeu. 5 déc. 2019
19h00
Ven. 6 déc. 2019
19h00
Sam. 7 déc. 2019
19h00
* Représentations scolaires

Distribution

Texte et interprétation
Fabrice Adde
Co-écriture et mise en scène
Olivier Lopez
Lumière
Éric Fourez

Production
Théâtre de Liège, La Cité/Théâtre

Avec le soutien de Théâtre de la Chapelle Saint-Louis- Rouen, L’Archipel – Scène conventionnée de Granville, et l’Ancre Charleroi (Belgique)

Avec le soutien du Club des Entreprises partenaires du Théâtre de Liège

Création 23 avril 2017 au Théâtre de Liège

Informations

Salle de répétition
1h30

Saison 2019-2020
Théâtre

Résumé

Dans ce solo foutraque, Fabrice Adde interprète un conférencier censé nous apprendre « Comment parler en public ». Expérience jubilatoire, sorte de cadavre exquis, ce spectacle se situe à un endroit déréglé, sans définition, et d’une exigence terrible : celle d’être juste. Phrases non finies, fautes de langages et paradoxes (représentatives de nos errances humaines), Fabrice joue sans réfléchir comme un enfant joue sans y penser, il fait face au gouffre d’une situation impossible : il a tout perdu … et s’en amuse avec nous. Prétextant une conférence sur la prise de parole en public, il dissèque les enjeux et la place de l’acteur dans le monde tel qu’il est, et ce sont bien là les servitudes de l’homo-erectus qui sont mises en lumières ! Passant de Gabily à Claudel de façon déconcertante, il rend hommage, l’air de rien, aux auteurs sans qui la parole et le théâtre ne seraient pas. 14 juillet est un subtil mélange dionysiaque de sincérité, de démesure, et d’une réelle jubilation à mettre en valeur sa vulnérabilité, son potentiel d’énergie face à une forme d’injustice : la solitude.
Fabrice joue à des endroits où peut-être que le théâtre ne joue pas, par peur du ridicule, et ça nous fait bien marrer… ce qui est important aussi non ?
Il se livre avec volupté à l’insolence, à la générosité et au mépris que lui inspirent le monde en général et le monde du spectacle en particulier. Passionné et révolté, 14 juillet oblige, voici un acteur en anarchie absolue.