First Trip
Représentations
Distribution
Production
MC2: Grenoble
Coproduction
MC2: Grenoble, Le 5ème quart, Printemps des comédiens, Théâtre de l’Archipel – Scène nationale de Perpignan, Théâtredela Cité – Centre dramatique national Toulouse Occitanie
Résidence
Théâtre des 13 vents – CDN de Montpellier, Les studios de Virecourt
Le spectacle est soutenu par La Maison Louis Jouvet / ENSAD (École nationale supérieure d’Art dramatique de Montpellier- Languedoc-Roussillon), le dispositif d’insertion de l’ÉCOLE DU NORD, le CENTQUATRE-PARIS
Avec le soutien financier de la Direction régionale des affaires culturelles Occitanie
Avec le soutien et l’accompagnement du Collectif MxM, et tout particulièrement Cyril Teste, Julien Boizard et Anaïs Cartier
Avec le soutien de la Spedidam
Remerciements
Guillaume Allory, Thibault Lamy, Jason Razoux, Paul Poncet, Camille Soulerin, Victor Assié, Nica de Wilde, le collectif la carte blanche, Ariel Garcia-Valdes, Evelyne Correard, Gildas Millin, Mustapha Tuil, Sylvie Suire, Julien Testard, Guillaume Vincent, Valérie Grall, Céline Gaudier, Sandrine Hutinet, Philippe Gayola, Ina Kang, Quentin Chesnais, Sarah Bornstein, Lucie Ben Bâta, Wanda Wellard, Piotr, Blanche Adilon, Stéphanie Marc, Lison Rault, Maud Paschal, Erik Truffaz, Daniel Martin, Nicolas Doremus, Pauline Collin, Morgan Lloyd Sicard, Maxime Taffanel, Rébecca Truffot, Marion Held-Javal, Michel Labelle, Marion Montel, Jacques Baylet, le Bowlingstar de Montpellier, le lycée Jacques Decour à Paris, Frédéric Birault, mon-uniforme-scolaire.com, les Hurricanes de Montpellier, HD Diner – Opéra et le Stade Maurice Rigaud d’Albi, Jean-Pierre Fourniol, le Lycée professionnel Guynemer de Grenoble, Ysore Bonnardel, Sarah Ford et Michael Golub.
Informations
Le CUB
2h40 et un entracte
Résumé
Milieu des années 1970, dans la banlieue tranquille de Détroit, cinq adolescentes se donnent la mort. La sidération est totale. Rien dans l’apparente normalité de la famille Lisbon ne laissait présager le suicide de ces soeurs. Vingt ans après, leurs jeunes voisins, devenus pères de famille, n’ont rien oublié de ce drame dont l’énigme reste entière. Ils ré-ouvrent l’enquête et tentent de donner un sens aux faits, aux témoignages et à toutes les pièces à conviction collectés au fil du temps. Comme dans le roman, Katia Ferreira choisit de raconter l’histoire des filles Lisbon du point de vue de ce groupe de garçons. Aux confins de l’enquête et de leur mémoire, ils recomposent le souvenir de ces figures fascinantes et fantasmées, qu’ils ont aimées adolescents, et qui ne cessent de les hanter.