« Je n’ai pas encore commencé à vivre »ThéâtredelaCité

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24 – 25 septembre 2019
 

« Je n’ai pas encore commencé à vivre »

я еще не начинал(а) жить
Spectacle présenté lors de
La Biennale

Représentations

Mar. 24 sept. 2019
20h30
Mer. 25 sept. 2019
20h30
* Représentations scolaires

Distribution

Spectacle présenté lors de
La Biennale
Mise en scène
Tatiana Frolova
Avec
Tatiana Frolova Dimitri Bocharov Vladimir Dimitriev Germain Iakovenko Ludmila Smirnova
Texte français
Bleuenn Isambard
Création documentaire
Tatiana Frolova
Son
Vladimir Smirnov
Lumière
Tatiana Frolova
Vidéo
Tatiana Frolova Dimitri Bocharov Vladimir Smirnov

Matière documentaire (textes, images, entretiens, témoignages, extraits d’articles, études, ouvrages historiques et mémoriels) collectée par les artistes du théâtre KnAM.

Production
Théâtre KnAM – Russie

Production déléguée
Célestins – Théâtre de Lyon

Coproduction
Célestins – Théâtre de Lyon, Festival Sens Interdits – Théâtre de Choisy-le-Roi – Scène conventionée pour la diversité linguistique – Les Treize Arches – Scène conventionnée de Brive

Avec le soutien de l’ONDA – Office National de Diffusion Artistique

Informations

Le CUB
2h


Spectacle présenté lors de La Biennale

 

Saison 2019-2020
La Biennale
Théâtre

Résumé

Il n’y a presque rien sur le plateau : un tableau noir, une table, de la terre et deux écrans. Avec peu de décor et beaucoup d’astuce, Tatiana Frolova présente une mosaïque de témoignages très personnels : le sien, celui de ses comédiens (son équipe habituelle étoffée de deux jeunes recrues) et quelques témoins en vidéo.
La sincérité des histoires intimes bouleverse. Elles s’entrecroisent et résonnent puissamment avec l’Histoire, celle de l’URSS devenue Russie, qu’elle raconte en dressant le portrait de ses dirigeants successifs, de Lénine à Poutine, en un emboîtement de poupées russes.
À la craie, Tatiana Frolova inscrit et additionne sur un tableau noir les centaines de milliers de déportés et de morts de son pays. Courageusement, elle les rappelle au souvenir d’une jeune génération russe à qui on n’en parle pas à l’école et qui ignore même que sa ville, Komsomolsk-sur-Amour, en Extrême-Orient, était un goulag et a été construite par ses prisonniers.