Pour Hêtre
Représentations
Distribution
Coproductions
Ce spectacle reçoit le soutien d’Occitanie en scène dans le cadre de son accompagnement au Collectif En Jeux, dont les membres sont : Théâtre Albarède, Communauté de communes des Cévennes gangeoises et sumémoises / Bouillon Cube, Causse-de-la-Selle / Chai du Terral, Saint-Jean-de-Védas – Scènes croisées de Lozère, Scène conventionée pour les écritures d’aujourd’hui / Le Périscope, Nîmes / Théâtre en Garrigue, Port-la-Nouvelle / La Bulle bleue, Montpellier / Théâtre + Cinéma, scène nationale de Narbonne / Théâtre Sorano, Toulouse / Théâtre du Grand Rond, Toulouse / La Grainerie, fabrique des arts du cirque et de l’itinérance, Balma / Théâtre de l’Usine, scène conventionnée théâtre et théâtre musical, Saint-Céré / Le Kiasma – Agora, Castelnau-le-Lez et Le Crès / Théâtre Molière Sète, scène nationale Archipel de Thau / Théâtre des Deux Points -MJC de Rodez / Théâtre de la Maison du Peuple, Millau / Théâtre Jules Julien, Toulouse / Théâtre Jean Vilar, Montpellier / ThéâtredelaCité, Centre Dramatique National de Toulouse / Le Neuf-Neuf – Compagnie Samuel Mathieu, Toulouse / L’Astrolabe, Figeac / Théâtre Jacques Coeur, Lattes / EPIC du Domaine d’O, Montpellier.
Autres coproducteurs
Le Carré Magique – Pôle National des arts du Cirque en Bretagne, Lannion, Trégor / Circuscentrum/Festival Perplx, Gand (Be) / Le THV, Saint Barthélémy d’Anjou / La Verrerie, Pole National Cirque Languedoc-Roussillon (en cours).
Autres partenaires
La Grainerie, Balma / Les Mazades, Toulouse / Le ThéâtredelaCité, Toulouse / Théâtre des Deux points – MJC Rodez / Cie 111 – Aurélien Bory – La Nouvelle Digue, Toulouse / L’ Espace Catastrophe, Bruxelles / La Fabrique, Université Toulouse – Jean Jaurès / Mix’Art Myrys, Toulouse / Municipalité d’Orgibet / La Baraque – la Vannerie – Ville de Toulouse. L’ONF (Office Nationale des Forêts)
Informations
Au Théâtre des Mazades
Durée estimée 1h
À partir de 6 ans
Téléchargements
Résumé
Parler de nous à travers le temps. Parler du temps à travers l’arbre.
Parler des branches en commençant par le tronc.
L’arbre grandit de façon constante, il suit son propre rythme. Bien plus lent que celui des humains.
Les branches vivent au présent, fragiles, souples, flexibles et dynamiques, elles cherchent la lumière.
Les racines cachées dans la terre apportent la stabilité en se nourrissant du passé.
Lorsque nous l’arrachons de la terre, nous l’arrachons du temps.
A chaque instant, l’arbre pousse vers le haut et vers le bas, vers l’intérieur et l’extérieur. Lui qui paraît si
statique est en fait en perpétuel mouvement.
Comme nous, il se forme, se déforme, se tord et se balance.
Cie Iéto