Le Nid de cendres
Représentations
Distribution
Production LE K
Coproductions Festival d’Avignon ; Théâtre Nanterre-Amandiers ; La Comédie de Caen – CDN de Normandie ; ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie ; Le Tangram Scène Nationale d’Évreux-Louviers ; CDN de Normandie – Rouen ; Le Préau – CDN de Normandie Vire ; Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin ; Dieppe Scène nationale ; Scène nationale 61 ; Le Réseau des Producteurs Associés Normands ; Théâtre du Nord CDN de Lille – Tourcoing – Hauts de France ; La Rose des vents – Scène Nationale Lille Métropole Villeneuve d’Ascq
Avec le soutien de la DGCA – ministère de la Culture, Drac Normandie ministère de la Culture, Région Normandie, Département de l’Eure, ODIA Normandie
Avec l’aide du Moulin de l’Hydre – Saint-Pierre-d’Entremont ; Éric et Claire Goupil ; la famille Lagrange Pontaillier
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et du dispositif d’insertion de l’École du Nord
Le Réseau PAN
Le Tangram – Scène Nationale d’Evreux Louviers ; Le Préau CDN de Vire ; Le CDN de Normandie-Rouen ; La Comédie de Caen – CDN de Normandie ; DSN – Dieppe Scène Nationale ; Le Trident – Scène Nationale de Cherbourg-en-Cotentin ; la Scène Nationale 61 – Alençon
Informations
La Salle
Durée 13h entractes compris (en sept parties d’environ 1h30 chacune)
*Ce spectacle compte pour deux spectacles dans votre AbonnementCité*
Résumé
Le Nid de cendres parle d’un monde coupé en deux, comme une pomme coupée en deux hémisphères. D’un côté, le monde tel que nous le connaissons, avec un président de la République qui s’est travesti en voyante pour fuir incognito, un couple de classe moyenne, un peuple d’incendiaires, une révolte violente. De l’autre côté, un monde de contes et d’histoires, un miroir de symboles avec une reine malade comme le monde tel que nous le connaissons est malade, un roi qui veut sauver sa reine, des princes et une princesse. Deux moitiés séparées qui tout au long de l’épopée vont tenter de se réunir pour survivre l’une et l’autre, l’une par l’autre.
Journal
Épique, démesuré, hors normes, le spectacle vivant est quelquefois tout simplement… « spectaculaire », au sens littéral du terme : impressionnant, grandiose, le spectaculaire parle alors étymologiquement «directement aux yeux ». Inscrit d’ailleurs en lettres lumineuses au fronton du ThéâtredelaCité*, le mot est là pour nous rappeler que le spectaculaire frappe notre regard et notre imagination, avant même de nous donner à penser. Les images qu’il recèle et qu’il fait naître s’impriment dans nos rétines et nos mémoires, parfois pour toute une vie.
C’est ce que nous proposent en tout cas La Trilogie des Contes Immoraux (pour Europe) et Le Nid de cendres à découvrir ce trimestre.