Majorettes
Représentations
Distribution
Coproduction
Montpellier Danse, résidence de création à l’Agora, cité internationale de la danse, avec le soutien de la Fondation BNP Paribas, La Filature – Scéne nationale de Mulhouse, Les Quinconces et L’Espal – Scéne nationale du Mans, La Halle aux grains – Scéne nationale de Blois, Format ou la création d’un territoire de danse – Ardèche, Centre national pour la création adaptée – Morlaix, Théâtre Brétigny – scéne conventionnée d’intérêt national arts & humanités, Centre chorégraphique national de Tours / Direction Thomas Lebrun, Le Quartz – Scéne Nationale de Brest, Carreau du Temple, Etablissement culturel et sportif de la Ville de Paris, TAP – Théâtre auditorium de Poitiers, en cours
Soutien
CND Centre national de la danse
La bi-p est soutenue par la DRAC Centre-Val de Loire – Ministére de Culture, au titre du conventionnement, par la Région Centre-Val de Loire au titre du conventionnement et par l’Institut français pour ses projets à l’étranger.
Informations
Résumé
Quand j’étais enfant, une amie était majorette, ce qui me faisait fantasmer. Si je me replonge dans ces souvenirs, je suis traversé par un sentiment mêlé, entre nostalgie, admiration et désuétude.
Cette figure convoque différentes réalités, du défilé quasi militaire dans la rue à la musique jouée par une fanfare en passant par les costumes de parade à paillettes.
J’ai rencontré les Major’s Girls de Montpellier, réunissant des femmes d’une moyenne d’âge de 60 ans dont Josy, la capitaine, qui a commencé la majorette à 15 ans en 1964.
Ce n’est pas une histoire de la majorette qui se dessine mais bien leurs histoires, à travers leurs récits, entre la fougue de leur jeunesse et leur maturité d’aujourd’hui.
Mickaël Phelippeau
Journal
Sérum anti-âge
Sourire aux lèvres, bottines aux pieds, bâton tournoyant au bout des doigts, elles défilent au coude à coude depuis plus de soixante ans au sein des Major’s Girls. Dans Majorettes, le chorégraphe Mickaël Phelippeau tire le portrait de douze femmes paradant en paillettes pour tirer la langue au temps qui passe.