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18 – 20 novembre 2024
 

Contact

Un projet de
Mélanie Vayssettes et Simon Le Floc’h / le club dramatique
Mise en scène
Mélanie Vayssettes
Spectacle accompagné et présenté avec le
Théâtre Sorano
dans le cadre de
SUPERNOVA #9 – Festival jeune création

Représentations

Lun. 18 nov. 2024
19h00
Mar. 19 nov. 2024
19h00
Mer. 20 nov. 2024
19h00
* Représentations scolaires

Distribution

Un projet de
Mélanie Vayssettes et Simon Le Floc’h / le club dramatique
Mise en scène
Mélanie Vayssettes
Spectacle accompagné et présenté avec le
Théâtre Sorano
dans le cadre de
SUPERNOVA #9 – Festival jeune création
Avec
Quentin Quignon, Simon Le Floc’h, Elsa Thebault, Ondine Nimal et Barthélémy Maymat-Pellicane
Collaboration à la mise en scène
Morgane Nagir
Dramaturgie et collaboration à l’écriture
Julien Barthe
Espace et costumes
Elsa Séguier-Faucher
Son
François Rivère
Lumière
Gaspard Gauthier / Artur Canillas
Administration et production
Stéphanie Onrazac

Partenaires
Théâtre Sorano – Scène conventionnée, Théâtre Jules-Julien, Théâtre du Pont Neuf, Cie 111 – la nouvelle Digue, Mjc de Rodez – Théâtre des 2 points – Scène conventionnée, l’Astrolabe, Théâtre de la Maison du Peuple – Scène conventionnée, Collectif En Jeux, Théâtre des Mazades, Théâtre du Grand Rond

Avec le soutien de l’Atelier décors du ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie

Accompagnement à la production et à la diffusion Théâtre du Grand Rond

Avec le soutien du Fonds d’insertion de L’éstba financé par la Région Nouvelle-Aquitaine et la DRAC Nouvelle-Aquitaine

Ce spectacle reçoit le soutien d’Occitanie en scène dans le cadre de son accompagnement au Collectif En Jeux.

Informations

Durée 1h30
Le CUB

Saison 2024-2025
Théâtre

Résumé

Simon et sa troupe, en dignes spécimens de cette humanité avancée, nous disent peut-être que l’effondrement, s’il est certain, ne trouvera plus grand chose à effondrer. Au plateau évoluent cinq présences maladroites et fragiles, cinq formes de vie atrophiées par les machines ; elles voudraient bien créer mais la dispersion règne ; on aimerait se comprendre et se rencontrer quand les solitudes sont trop denses ; ça désirerait se toucher et la distance s’impose.
Le club dramatique poursuit son travail de dégagement et de captation de l’étrangeté contemporaine en usant de la poésie burlesque déjà présente dans ses deux premières créations !

© Pierre Vanni

Teaser

Note d'intention

Il s’agit d’affirmer la démarche artistique mise en œuvre dans les deux premières créations Ultra Moderne Solitude, j’ai le cœur brisé demain je le change et Soon et d’approfondir l’identité de la compagnie le club dramatique : à travers la recherche d’un langage, d’une théâtralité, nous tentons de dire combien nous nous sentons seuls.es et perdus.es.
Voilà l’impulsion première : explorer les profondes mutations que nous subissons, la nouvelle façon d’être au monde quand les contacts physiques sont absents des relations virtuelles, la déshumanisation progressive qui annihile, en chacun.ne de nous, la faculté d’échange et l’attention au réel.
Il ne s’agit pas de théâtre politique. Nous cherchons des moments d’étrangeté, qui n’ont pas forcément de raisons sociales mais qui parle du vide. C’est une recherche poétique sur la crise du sens dans le monde contemporain : Que fait-on ici ? Ensemble ? Pourquoi se réunit-on ? Comment créer aujourd’hui ?
Nous voulons produire un théâtre visuel et inventif, qui situe les spectateurs·rices dans un espace poétique où l’étrangeté émane d’une subversion des images familières de la techno-sphère. Et il se pourrait qu’en visant à susciter l’émotion, soit offerte au public la possibilité d’élucider le rapport – nécessairement opaque – qu’il entretient avec la technologie.
Mélanie Vayssettes et Simon Le Floc’h