La Tendresse
Représentations
Distribution
Production
Compagnie Les Cambrioleurs / direction artistique Julie Berès
Coproductions et soutiens
La Grande Halle de La Villette, Paris, La Comédie de Reims, CDN, Théâtre Dijon-Bourgogne, Le Grand T, Nantes, ThéâtredelaCité – CDN de Toulouse Occitanie, Scènes du Golfe, Théâtres de Vannes et d’Arradon, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Les Tréteaux de France, Centre Dramatique Itinérant d’Aubervilliers, Points Communs, Nouvelle Scène nationale de Cergy-Pontoise / Val d’Oise, Nouveau Théâtre de Montreuil, CDN, Théâtre L’Aire Libre, Rennes, Scène nationale Châteauvallon-Liberté, Théâtre de Bourg-en-Bresse, Scène conventionnée, La Passerelle, Scène nationale de Saint-Brieuc, Le Canal, Scène conventionnée, Redon, Le Quartz, Scène nationale de Brest, Espace 1789, Saint-Ouen, Le Manège-Maubeuge, Scène nationale, Le Strapontin, Pont-Scorff, TRIO…S, Inzinzac-Lochrist, Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale
Soutiens
Fonds d’insertion de l’ESTBA et de l’ENSATT
avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
La Compagnie Les Cambrioleurs est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Bretagne, et par la Région Bretagne, la Ville de Brest, et est soutenue pour ses projets par le Conseil Départemental du Finistère.
Julie Berès est artiste associée du projet du Théâtre Dijon-Bourgogne dirigé par Maëlle Poésy, et de DSN-Dieppe dirigé par Simon Fleury.
Le décor a été construit par l’Atelier du Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique-Nantes.
Remerciements
Florent Barbera, Karim Bel Kacem, Johanny Bert, Victor Chouteau, Mehdi Djaadi, Elsa Dourdet, Émile Fofana, Anna Harel et Nicolas Richard pour leurs précieuses collaborations
Nous remercions toutes les personnes qui ont accepté de nous partager des apports biographiques et artistiques pour ce projet.
Le texte est publié aux éditions Librairie Théâtrale – collection L’Œil du Prince.
Informations
Résumé
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour se sentir appartenir au « groupe des hommes ».
Nous avons ouvert ensemble un champ de questionnement : Qu’est-ce qu’être un mec bien ? Quels sont leurs modèles, leurs héritages ? Leur rapport avec l’argent, l’amour, la drague ? Quelles sont leurs fragilités ?
Chacun à sa manière ébranle les codes et fait bouger les lignes d’une identité fondée sur la performance, la force, la domination de soi et des autres. Nous postulons avec eux que c’est sans doute dans l’acceptation de sa vulnérabilité, comme dans la revendication d’une égalité de faits entre les hommes et les femmes, que réside l’une des clefs de la réinvention de soi.
Photos
Il n’existe nulle part un malheur étanche uniquement féminin, ni un avilissement qui blesse les filles sans éclabousser les pères.
Germaine Tillon