J’aimeThéâtredelaCité

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8 – 12 mars 2022
 

J’aime

De
Nane Beauregard
Adaptation, mise en scène et jeu
Laure Werckmann
Spectacle accompagné par le
ThéâtredelaCité

Représentations

Mar. 8 mars 2022
19h00
Mer. 9 mars 2022
19h00
Jeu. 10 mars 2022
19h00
Ven. 11 mars 2022
19h00
Sam. 12 mars 2022
18h00
* Représentations scolaires

Distribution

De
Nane Beauregard
Adaptation, mise en scène et jeu
Laure Werckmann
Spectacle accompagné par le
ThéâtredelaCité
Lumière
Philippe Berthomé
Collaboration à la scénographie
Angeline Croissant
Création musicale
Olivier Mellano
Collaboration à la mise en scène
Noémie Rosenblatt
Régie générale et lumière
Virginie Watrinet
Construction
Éric Morelon
Collaboration aux costumes
Pauline Kieffer
Préparation physique
Elya Zanin
Stagiaire arts du spectacle
Sabrina Chekirou
Administration de production
Artenréel#1- Joël Beyler et Alexandra Puillandre

Production
La compagnie Lucie Warrant / Artenréel#1

Coproductions
TAPS – Théâtre actuel et public de Strasbourg ; ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie

Soutiens
Direction Régionale des Affaires Culturelles Grand Est ; La Ville de Strasbourg ; La Région Grand Est

Remerciements à La Villa des Illusions – Guy Savoy – Christian Lacroix – Cécile Kretschmar

Création et tournée (en cours)
16 au 20 novembre 2021 – TAPS – Strasbourg ; Premier semestre 2021 – ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie

Résidences de création (en cours)
6 semaines au Taps – Strasbourg

Informations

Salle de répétition 1

Durée 1h05


TARIF B

Saison 2021-2022
Créé ici
Nouveau 21-22
Théâtre

Résumé

J’aime, c’est une unique phrase sans ponctuation formulée par une femme qui aime un homme et qui dit de quoi son amour est fait.

Sans crainte et sans fard, elle ausculte, avec le plus de précision et de conscience possible, leur intimité. Elle explore tous les recoins de leur vie, les petits et les grands événements, les actes futiles ou courageux, les obsessions et les travers, les petites lâchetés et les grands sentiments, les arrangements et les mensonges, les socles et les gestes qui comptent, bref la vie, dans sa plus grande et troublante complexité

Journal

Dossiers et reportages

DOSSIER : ÉCRITURES DRAMATIQUES CONTEMPORAINES

Publié le 14 février 2022

L’histoire de l’adaptation du roman au théâtre est complexe et diverse, d’exercices d’admiration en controverses, de transpositions en trahisons — nécessaires —, d’écrasements en sublimations. Depuis le XIXe siècle, les deux genres n’ont cessé de se croiser, de converger pour mieux redéfinir leurs différences, faisant naître au passage des créatures hybrides. Au milieu du XXe siècle, la polyphonie des romans modernes tendait vers le théâtre et certaines pièces aux didascalies envahissantes flirtaient avec le genre narratif. Le début de notre siècle a vu fleurir les adaptations, tentatives parfois de retrouver du récit là où le théâtre post-moderne l’avait fait voler en éclats. Celles-ci demeurant tout de même majoritairement de l’ordre de la déconstruction. Qu’en est-il aujourd’hui ? Quelles démarches artistiques peuvent conduire le geste d’adaptation ? Et quelles écritures dramatiques peuvent naître de ces rencontres ?

Dossiers et reportages

DOSSIER : ÉCRITURES DRAMATIQUES CONTEMPORAINES

Publié le 14 février 2022

À l’honneur ce trimestre au ThéâtredelaCité, que nous racontent les dramaturges contemporain∙e∙s du monde, de nous, mais aussi du théâtre d’aujourd’hui et de l’écriture elle-même ? Écritures d’ici et maintenant, de demain ou d’ailleurs. Écritures collectives ou en solo. Écritures de plateau ou de papier. Écritures documentaires, de fiction, de docu-fiction, de science-fiction. Réécritures. Adaptations de romans, de films, de contes ou même de pièces de théâtre. Écritures de commande ou spontanées… Le prisme est immense : seul le recul donné par la postérité pourra y tracer des lignes et en faire émerger les classiques de demain. Car, comme Galin Stoev et Stéphane Gil qui ont dessiné cette foisonnante programmation aiment à le rappeler, nos classiques ont d’abord été les contemporains de leur époque.

Teaser

Présentation

Biographies

Laure Werckmann

Metteuse en scène – Actrice

Elle fait ses débuts au Théâtre du Peuple de Bussang – Vosges – dont le fronton du théâtre a pour maxime « Par l’art pour l’humanité ». Elle y travaille dans des mises en scène de Philippe Berling et notamment dans Peer Gynt d’Ibsen au côté d’Eric Ruf, actuel administrateur de la Comédie-Française. Suite à cette rencontre, elle intègre la Compagnie d’Edvin(e), le collectif d’acteurs qu’il dirige. Tout en jouant dans les créations elle sera également assistante à la mise en scène d’Eric Ruf pour Les Belles endormies du bord de scène, second spectacle de la compagnie.

Puis elle continue à développer son travail d’interprète auprès de différents metteurs en scènes : Guy Delamotte, Gilles Bouillon, Laurent Crovella, Eric Ruf, Catherine Javaloyes.

En 2009, elle rencontre Eric Lacascade, avec qui elle créera plusieurs spectacles.

Parallèlement elle intègre l’équipe pédagogique de l’école d’acteurs du Théâtre National de Bretagne qu’il dirige pendant 6 ans. Elle y conduit différents ateliers ou masterclass, mais aussi à l’Université de Strasbourg, le théâtre TAPS ou encore le Théâtre National de Strasbourg. Son travail pédagogique s’adresse autant à des publics amateurs que professionnels interrogeant toujours la représentation de l’Homme et le geste de l’Acteur. Elle devient également collaboratrice à la mise en scène d’Eric Lacascade sur plusieurs spectacles. En 2019, elle crée à ses côtés au Théâtre Jaunimo de Vilnius la mise en scène du Balcon de Jean Genet

C’est cette même année qu’elle crée son premier solo au Théâtre de la Cité Internationale, avec la metteuse en scène Maëlle Dequiedt, Pupilla, texte que l’auteur Frédéric Vossier lui a confé pour en être l’interprète.

En 2020, elle travaille sur la création de Ivres de Ivan Viripaev dans une mise en scène de Ambre Kahan, qui sera créé au Quai d’Angers avant une tournée en France.

Au cinéma elle a tourné récemment dans le dernier long-métrage de Julien Abraham, et à la télévision on la verra cette année notamment dans la série Les bracelets rouges.

Nane Beauregard

Auteure

J’écris et je vis à Paris et dans le Perche et le travail d’écriture que je mène depuis le début, en tout cas au moins depuis mon premier roman J’aime, paru chez Pol, puis, dernièrement dans L’amour, simplement, paru chez Losfeld/Gallimard, porte sur une possible définition de ce qu’il en serait de l’amour. Pas l’amour passion, pas les débuts de l’amour, ni sa fin, mais l’amour au milieu, l’amour au quotidien, la beauté du banal, voire du routinier, de ces menus gestes, ces mots simples ou ces silences, ces regards ou leur absence qui ont selon moi la force et la noblesse des humbles, des modestes et sont autant de manifestations d’un amour qui se vit au jour le jour.

Ce travail peut prendre diverses formes, celle du roman comme J’aime ou L’amour, simplement où il est question de l’amour d’une femme pour un homme ou dans La Manouba (Leo Scheer) ou encore Le secret (L’Harmattan) où il est encore une fois question d’amour mais cette fois, celui d’une mère pour son fils, celle de chansons, de scénarios, de poèmes ou de textes courts accompagnés de photos tels ceux qu’il m’arrive de poster sur Instagram.

En quelques mots…

Seule en scène
Portrait intime
Écriture contemporaine

Témoignage de spectateur.rice.s

« Si l’Amour avait eu une voix, je pense qu’il s’exprimerait comme ça. » Aya – lycéenne

« Une puissante et superbe mise en scène, des touches musicales et jeux de lumière très réussis, et, de bout en bout, une incroyable performance d’actrice… » Joseph Hermal – directeur général, secteur public local

« C’est confondant d’humanité, c’est beau. J’aime. » Geoffrey Goudeau – étudiant

« Un émerveillement ce soir-là, un pur bonheur. Il y avait bien longtemps … Une heure, pour parler d’une vie. C’était beau, touchant, joyeux. » Josette Bertrand – abonnée au Taps

Mosaïque
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À voir aussi