« Un effrayant besoin de fraternité »
Delphine Horvilleur écrit des livres, elle est mère de famille, parisienne. Elle a étudié la médecine avant de devenir journaliste. Elle est une des rares femmes rabbins en France. Féministe, inclusive, attachée à la liberté, à la laïcité. Elle a témoigné au procès de Charlie Hebdo en 2015 et mène des ateliers très suivis d’étude de la Bible et du Talmud. On l’invite, de radios nationales en plateaux télé, pour parler de ses livres, d’habitude plutôt des essais, comme le best-seller Vivre avec nos morts. Ou pour décrypter l’actualité, qu’elle passe au tamis de sa pensée vive et d’une parole claire où chaque mot cherche la justesse et l’humain. Delphine Horvilleur est, comme nous tou∙te∙s, un être tissé d’identités multiples, une somme d’origines et de vécus, de petits et grands héritages, de petits et grands choix personnels. C’est justement cette pluralité essentielle à l’individu et au vivre ensemble que célèbre son premier texte écrit pour le théâtre, Il n’y a pas de Ajar. À voir absolument par les temps qui courent.
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Phèdre !/Giselle…/Carmen.
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Sérum anti-âge
Sourire aux lèvres, bottines aux pieds, bâton tournoyant au bout des doigts, elles défilent au coude à coude depuis plus de soixante ans au sein des Major’s Girls. Dans Majorettes, le chorégraphe Mickaël Phelippeau tire le portrait de douze femmes paradant en paillettes pour tirer la langue au temps qui passe.
Carnet de bord de création
Retour sur le parcours de création de la pièce de Laurent Gaudé, mise en scène par Laëtitia Guédon avec la Troupe éphémère de l’AtelierCité.
Retour sur le parcours de création de la pièce de Laurent Gaudé, mise en scène par Laëtitia Guédon avec la Troupe éphémère de l’AtelierCité.
Ce hors-série est consacré aux artistes que le ThéâtredelaCité accompagne cette saison.
Dans la continuité de notre travail avec des illustrateur∙rice∙s et auteur∙rice∙s de bandes dessinées, nous invitons cette saison Anne Simon à investir les journaux trimestriels. À chaque numéro, découvrez une planche de bande dessinée spécialement conçue pour l’occasion !








