Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Phèdre !/Giselle…/Carmen.
Elles sont « femmes, amoureuses et ont en commun de partager un destin funeste » : vu sous cet angle les héroïnes de la trilogie que met en scène François Gremaud ont effectivement du souci à se faire. Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra) ont pourtant une place de choix dans notre imaginaire collectif, mais sont justement parfois toutes empoussiérées sous les attendus qu’on leur colle à la peau. Une Phèdre engoncée dans son inévitable désir tragique, une Giselle asphyxiée par un romantisme éthéré et une Carmen victime des hommes, c’est souvent ainsi qu’à tort on les résume.
Alors, pour tenter de libérer-délivrer nos héroïnes des clichés, nous avons donné l’occasion à chacun∙e de leurs interprètes de les faire parler. Et d’en parler eux ∙elles-mêmes Et de parler d’eux ∙elles-mêmes. Le fil conducteur du dialogue prenant les traits d’un drôle de portrait chinois…
Sérum anti-âge
Sourire aux lèvres, bottines aux pieds, bâton tournoyant au bout des doigts, elles défilent au coude à coude depuis plus de soixante ans au sein des Major’s Girls. Dans Majorettes, le chorégraphe Mickaël Phelippeau tire le portrait de douze femmes paradant en paillettes pour tirer la langue au temps qui passe.
Carnet de bord de création
Retour sur le parcours de création de la pièce de Laurent Gaudé, mise en scène par Laëtitia Guédon avec la Troupe éphémère de l’AtelierCité.
Retour sur le parcours de création de la pièce de Laurent Gaudé, mise en scène par Laëtitia Guédon avec la Troupe éphémère de l’AtelierCité.
Ce hors-série est consacré aux artistes que le ThéâtredelaCité accompagne cette saison.
Dans la continuité de notre travail avec des illustrateur∙rice∙s et auteur∙rice∙s de bandes dessinées, nous invitons cette saison Anne Simon à investir les journaux trimestriels. À chaque numéro, découvrez une planche de bande dessinée spécialement conçue pour l’occasion !
Elles sont trois complices dont la moyenne d’âge gravite autour de la trentaine : ça pourrait être Belle, Bulle et Rebelle tant elles ont l’air de supers nanas, mais leurs pouvoirs tiennent plus à leurs talents qu’à leurs noms. Fanny Batier, Eva Salviac et Mathilde Maury (par ordre d’ancienneté dans la maison) composent à elles trois le service Communication du ThéâtredelaCité. Une équipe absolument essentielle dans le lien avec les publics. Même si le public justement ne les connaît pas et ne voit que le produit fini de leur travail.